Pour bien comprendre pourquoi les différents projets de lois de la CAQ sont si controversés, il faut comprendre pourquoi le syndicalisme est né. Dans cette vidéo qui date de 1965, René Lévesque explique clairement pourquoi le syndicalisme est important.

Look rétro garanti, montage d’époque, mais contenu 100 % pertinent. Vous allez peut-être rire du décor, mais pas du message ! Vous constaterez que certaines luttes d’hier sont toujours pertinentes aujourd'hui.

                        Le projet de loi 3 : une attaque à la démocratie

Les syndicats ont toujours défendu la démocratie. Pour ce faire, nous ne pouvons nous battre les mains liées dans le dos. Lorsque la CAQ tente de museler les syndicats, elle veut VOUS museler. Nous devons riposter pour défendre des droits fondamentaux soit d’afficher publiquement nos convictions et de militer sans crainte pour les causes qui nous sont chères.

Texte du Barreau du Québec s'oppose à ces projets de lois : https://www.barreau.qc.ca/fr/salle-presse/communiques-2025/barreau-craint-erosion-etat-droit-quebec/

Idées | L’hiver sera chaud, car le gouvernement Legault a déclaré la guerre à la société civile | Le Devoir

Un projet de loi superflu.

Le projet de loi 3 impose un fardeau administratif inutile aux syndicats, détournant leurs ressources de la représentation des membres vers des démarches bureaucratiques sans réelle valeur.

Une atteinte directe au droit d'association

Le droit de grève a été reconnu en 2015 comme un droit constitutionnel par la Cour suprême du Canada. C'est un droit fondamental dans une démocratie.

Un projet de loi pour faire taire les critiques

Les projets de loi 89 et 3 réduisent la portée des voix indépendantes ; il faut se mobiliser pour protéger la démocratie et préserver des voix critiques essentielles au débat public.

Un projet de loi qui menace nos droits fondamentaux

Déposé sans débat ni consultation, le projet de loi 1 fragilise le système québécois de protection des droits en affaiblissant la Charte et les outils juridiques essentiels. En invoquant la « souveraineté parlementaire » et les « valeurs québécoises », il ouvre la porte à une dérive identitaire et autoritaire inquiétante.

Un projet de loi qui va à l'encontre de la définition

«association de salariés» : un groupement de salariés constitué en syndicat professionnel, union, fraternité ou autrement et ayant pour buts l’étude, la sauvegarde et le développement des intérêts économiques, sociaux et éducatifs de ses membres et particulièrement la négociation et l’application de conventions collectives;

LOGISTIQUE DU 29 NOVEMBRE

Les 4 syndicats de l'UQAM se rejoignent dans la Cour Rio Tinto tout juste à côté du Centre Bell à 13h15. Métro Bonaventure.